Etonnant Griggio que je rencontre en 1991 dans une galerie Toulousaine lors qu’une démonstration d’imprimerie en taille douce.
Séduit pas la gravure, il mord aussitôt à « Plein Talents » ses premières planches dans les bains d’acide. Et depuis, sans état intermédiaires de gravure, sans crier gare, je le vois de temps à autre, arriver de son atelier au mien avec ses plaques sous le bras.Vite, vite, papier mouillé margeage, encre, pression, et voila un « Bon a tirer ». Magie de l’eau forte et talent font de lui un sacré Griggio. »